Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/03/2013

Inauguration

ROGNAIX“Les caves d’affinage” de Savoie dans une ancienne poudrière

“Les caves d’affinage” de Savoie dans une ancienne poudrière
Vendredi a eu lieu l’inauguration de cette entreprise d’affinage de fromages dans un lieu atypique : une ancienne poudrière.

Source: Dauphiné libéré publié le 28/11/2011 

Les Caves d'Affinage de Savoie

 

25 novembre 2011

Inauguration d’une entreprise d’affinage de fromages sur le site de la poudrière.

« Les caves d’affinages de Savoie » sont créées par un jeune ingénieur en agriculture : Eric MAINBOURG (29 ans). Le tunnel de 63 mètres de long et la pièce de 120 m² avec une température de 11° et une hygrométrie de 90% assurent de façon naturelle une maturation parfaite des fromages.

Le jeune homme est l’un des rares artisans affineurs de Savoie. Il travaille avec les fromages les plus connus de Savoie comme le Beaufort, la tomme, la raclette mais il aime aussi valoriser les productions plus confidentielles et un peu oubliées comme le gratteron d’Arêches ou le persillé de Tignes.

 

Evelyne et Martial BLANC : ROGNAIX 1000 ans d’histoire de la commune

 

 

Site Les Caves d'Affinage de Savoie que je vous conseille de visiter et surtout à vous rendre sur place. www.cavesdaffinage.fr


un-an-d-exercice-pour-eric-mainbourg-a-la-tete-des-caves-d-affinage-de-savoie.jpg

 





Pause à la cave de Rognaix, où question vacarme on s’y connaît : jusqu’en 1951, les lieux servirent à stocker de la dynamite. Depuis, ce tunnel de 70 mètres de long, où les roches sont apparentes, a retrouvé un usage bien plus pacifique : il sert de cave d’affinage, en particulier aux fromages de Beaufort. « Je peux notamment livrer des produits atypiques, affinés 18 mois par exemple - le temps moyen est d’ordinaire de 6 mois à 1 an - à des fromagers et des crémiers », confie le jeune artisan-affineur, Eric Mainbourg, 30 ans. Il y a place dans le site pour quelque 700 meules. Autre spécificité de cet espace naturel : «  Ici, les moisissures jeunes-orangées prennent vite sur la croûte des fromages car l’espace n’est pas ventilé et la différence de température entre le jour et la nuit est faible.  » Eric nous fait goûter un beaufort d’alpage AOC, fabriqué entre juin et octobre. «  C’est mon préféré, lâche-t-il, car le plus fruité à mon goût. »

 

index-fromage2.jpg

Article et photo; lemagazine.info Décembre 2012

LA POUDRIERE

 

C'est en 1951 que la poudrière est construite au Bayet, là où se trouvait un ancien moulin.
Forée dans le rocher, rien ne laisse supposer de son existence depuis l'extérieur.
La société NOBEL se charge de la construction sous la montagne d'un tunnel de 63 mètres de long avec deux salles distinctes : une pour les détonateurs et une pour 50 tonnes d’explosifs.
Sa construction est liée à un nombre important de chantiers réalisés en Savoie à cette période, notamment les barrages hydroélectriques de la vallée de la Tarentaise,  d'où la nécessité de créer un dépôt de proximité. Le site de Bayet et son relief sont tout indiqués.

Plus tard, une fois les chantiers terminés, ce sont les stations de sports d'hiver qui deviennent les principaux consommateurs d'explosif. Celui-ci est alors utilisé pour le déclenchement des avalanches.
Mais, à la fin des années 90, les produits stockés sont déclarés dangereux et les constructions sont interdites dans un périmètre d'un kilomètre autour de la poudrière.

 

 

 

Le durcissement de la législation concernant les risques industriels entraine la fermeture du site en 2004. En effet, son maintien aurait exigé des contraintes urbanistiques insupportables pour les communes de Rognaix, Saint-Paul et Cevins. Par ailleurs, les experts avaient fait ressortir les dangers pour les infrastructures proches de la poudrière parmi lesquelles ; un collège avec internat, une école maternelle, la voie ferrée et surtout la route nationale 90 empruntée par tous les touristes fréquentant les stations de sports d’hiver de Tarentaise.


 

 

 

Source: site de la Mairie de ROGNAIX et Evelyne et Martial BLANC : ROGNAIX 1000 ans d’histoire de la commune

 


Chute en forêt..

Rognaix : chute en forêt... d'un engin forestier

jeudi 13.09.2012, 16:55

En opération dans les forêts sur les hauteurs de Rognaix, un conducteur d'engin forestier circulant sur une route a perdu le contrôle de son véhicule en passant sur le bas-côté.

 

Le véhicule avec son chauffeur ont basculé dans le ravin et fait ue chute de 25m.

 

Retrouvé blessé par les secours, l'homme a été conduit au centre hospitalier d'Albertville.

 


Le Messager

Un bâtiment détruit par le feu

lundi 27.08.2012, 14:27

Rognaix : un bâtiment agricole entièrement détruit par le feu

Rognaix : un bâtiment agricole entièrement détruit par le feuRognaix : un bâtiment agricole entièrement détruit par le feu

 

 

C'est en fin de matinée qu'un feu s'est déclaré à Rognaix, à la ferme Chenal. Une quarantaine de pompiers, de Moûtiers, de la Léchère, d'Albertville, d'Ugine, d'Aiguebelle et de Basse Tarentaise, a été mobilisée pour circonscrire le sinistre, le maîtrisant aux alentours de 13h, bien aidée en cela par la proximité de l'Isère, à 100m de là.

 

Le bâtiment contenait du foin et des véhicules agricoles. Les 1000m² ont été en partie dévastés. Les habitations environnantes n'ont pas été atteintes, ni même le domicile du propriétaire, pourtant logé à moins de 10m. La relève assurera la surveillance des lieux, qui devrait se poursuivre durant la nuit. C'est la gendarmerie qui devra déterminer les causes du sinistre.

 

 

 
Journal La Tribune Républicaine

17/02/2013

Parler savoyard

Le francoprovençal (ou arpitan) est la principale source d'influence du parler savoyard moderne. En voie de disparition, l'arpitan est encore parlé dans trois pays.

Le parler savoyard est un ensemble de mots ou des expressions fréquemment employés par les Savoyards, encore appelés sabaudismes ou savoyardismes. Ces mots, expressions ou formes grammaticales proviennent soit de l'arpitan1 (ou francoprovençal), soit de vieilles formes du français et de ses formes patoisantes, soit d'argot local comme le mourmé. De nombreuses expressions appartiennent également au français de Suisse.

Quelques exemples

Abade (être à l') : être toujours au loin, hors de la maison

Aider (aller s') : donner un coup de main à un endroit précis (Vas t'aider à la remise, la mémé elle écllape du bois)

Arvi (ou Arvi pa) : au revoir

Bocon : morceau

Crouè,Croêju : petit (Nan crouè bocon = un petit morceau), désigne également une lampe-réchaud typique de petite taille

Dans le temps : par le passé (Dans le temps on avait beaucoup plus de neige l'hiver)

Dégourdi : malin, intelligent

Jus : café (Tu bois l'jus ?)

Juste : 7 heures justes = exactement à 7 heures

Meilleur temps (avoir) : il est préférable (on a meilleur temps de passer par là)

Rien (pas) : important ("Le mariage; c'est pas rien!")

Vieux (se faire) : durer longtemps, tenir le coup (Ce soir je vais pas me faire vieux, je vais aller me coucher tôt)

 

AUTRES EXPRESSIONS DIVERSES

ADIEU : Terme de salutation, bonjour. Se dit en rencontrant quelqu'un, et non pas, comme en français, au moment de prendre congé.
A'RVI, A'RVI PA : Au revoir. PA ou PÂ est une forme raccourcie de "n'est-ce pas" . 
ARSOUlLLER : Mal recevoir, ou reprendre durement quelqu'un; « Je ne vais pas chez elle, car c'est juste bon pour se faire arsouiller. » 
AU : Remplace souvent "chez" : « Il va au coiffeur, au docteur.
.. » 
BON ESTOMAC (avoir) : Se dit de quelqu'un qui chante fort. « Le Joseph, il a bon estomac. »
BOURRÉES (par) : Irrégulièrement; « Hier, on a eu du monde par bourrées. » 
ÇA S'EST EU VU - Ce passé surcomposé signifie: « On a vu/connu autrefois... » 
CE SOIR : Hier soir. 
ÇA M'A BlEN FAIT DU BlEN. « Cela m'a fait grand bien .» 
C'EST BIN TANT BON ! : « Cela est bien bon. » 
C'EST SÛR ÇA ! : « Certainement! » A l'interrogatif , signifie « C'est bien vrai? »
 
CUBELLER : tomber
DÉMONTAGNER : descendre les vaches de l'alpage en fin d'été
DE BIZINGUE : de travers
DÉCROÎT : Atrophie d'un membre; « Mon frère a le décroit au bras gauche.» 
DES FOIS : Employé improprement à la place de « parfois.» 
DONNE-M'LE : « Donne-le moi. » Le patois ne distingue pas « moi » de «me.»
DONNER UNE POIGNÉE D'ÉLAN : Donner un coup pour faire bouger
DRÉ : tout droit 
EMPRAILLER : Remettre en prairie. « J'ai empraillé mes champs d'en haut. »
ENCORE : Ce mot indique une certaine nuance, par exemple de regret; « Il parait que vous avez encore été malade? » , de joie: « Vous avez encore bonne mine! »
ÉPEUFER : Repousser violemment; « Je me suis fait épeufer. » 
ÉTRAMER : Retirer; « Tu n'as pas étramé la viande et le chien l'a emportée. » 
GÔGNES (faire des) : Faire des manières ridicules; « Arrête de faire des gôgnes, et sers-toi. » 
LE GROS DU JOUR : La plus grande partie de la journée
MERCI À VOUS : Au lieu de « Je vous remercie. » 
OCTANTE : Quatre-vingts; se disait dans le Genevois et les communes frontalières. On dit toujours huitante à Lausanne et en Valais.
OUISTER : Menacer avec une baguette.
PITALER : Marcher vite et beaucoup; « Qu'est-ce qu'il a à pitaler comme ça ce matin! » 
REVIENS-Y ! : expression ironique, « Ne recommence pas! » 
RIEN : Négation; «Oh, n'ayez pas peur du chien, il n'est rien méchant. » 
RIEN QU'EN Y VOYANT J'Y VOIS : C'est évident
SACOGNER : Secouer brutalement.
SEULEMENT : Donc; «Faites seulement!» ou «Reprenez seulement du jambon!» 
TANTÔT : Plus tard, cet après-midi, ce soir, demain; « J’te verrai c’tantôt. » 
TOUCHER LA MAIN : Serrer la main.
TOUTES (les avoir) : Série d'ennuis. « Je les ai bien toutes eues cette année. » 
UN : S’emploie couramment au lieu de « celui » ; « Un qui aurait su ça... » 
VOIR : Employé comme adverbe, il apporte une nuance au verbe principal; « Dis voir un peu ce que tu penses de ça. » « Regarde voir si l'facteur est passé. »
VOULOIR : Exprime la possibilité, l'éventualité; « Ça veut pleuvoir c'tantôt »
Y : S’emploie à la place du pronom d’objet « le », « la », ou « les » ; « Ça, j’aime pas y faire. »

 

 

SOURCES: Wikipédia et http://www.sav.org/


 

Le Francoprovençal ou Arpitan

 

L'Arpitanie désigne un ensemble de régions européennes (suisses, italiennes et françaises) géographiquement cohérent - hormis un petit isolat en Italie du sud - ayant la langue francoprovençale en commun. Chaque région possède ses propres dialectes francoprovençaux, ce qui n'exclut pas l'intercompréhension avec les autres régions. Quant aux termes «espace arpitan » et «aire arpitane», ils désignent l'espace où l'on parle francoprovençal.

Le terme arpitan qui signifie montagnard ou berger a été repris au début des années septante (1970) pour répondre au besoin de lever la confusion générée par le terme francoprovençal. La forme particulière arpitan a été choisie pour sa ressemblance avec le nom de la seconde grande langue gallo-romane, l’occitan. Arpitan est formé à partir de la racine pré-indo-européenne alp-, dans sa variante dialectale moderne arp- ; en langue arpitane, ce mot ne désigne non pas la «montagne», une «forme de relief élevé», comme on le croit communément, mais les «pâturages de montagne où les troupeaux sont conduits et passent l'été». Cette racine est présente dans de nombreux noms de lieux, tant en Haute-Provence (Arpasse, Arpette, Arpillon, ...), qu'en Dauphiné (Arp, Arpion, Arpisson, ...), qu'en Savoie (Arpettaz, Arpeyron, Arpiane, ...), qu'en Valais (Arpette, Arpache, Arpitetta, ...) et que sur le versant italien (Arpet, Arpetta, Arpettaz,...). On retrouve cette racine ou sa variante en Lombardie, en Suisse, en Allemagne et en Autriche.

 
Source: http://www.arpitania.eu/
Pour plus de renseignements je vous suggère le lien ci-dessus

 

 

12/02/2013

Courbe démographique de 1793 à 2010

Réalisé par FIFI sur les bases de l'Observatoire de Savoie, InseeEHESS et archives départementales de la Savoie.

 

Scan.jpg

467 habitants en 2015

 

11/02/2013

Histogramme La VILLE, Les TEPPES et La ROCHETTE

Variation population entre 1881 et 1931 au chef-lieu et les 2 principaux hameaux

Réalisé par FIFI sur les bases de l'Observatoire de Savoie, InseeEHESS et archives départementales de la Savoie.

Scan0001.jpg

 

 

 

10/02/2013

Définition

La démographie (en grec δημογραφία, de l'ancien grec δήμος = demos signifiant « peuple » et de γραφή = graphein « écrire ») est l'étude quantitative et qualitative de l'âge des populations et de leurs dynamiques, à partir de caractéristiques telles que la natalité, la fécondité, la mortalité, la nuptialité (ou conjugalité) et la migration.
Le démographe analyse les variations de ces phénomènes dans le temps et dans l'espace, en fonction des milieux socio-économiques et culturels.
Sur cette base la prospective démographique est en mesure d'établir différents scenarii d'évolution : de type tendanciels, alternatifs, de crise ou de ruptures, etc.


Source: Wikipédia