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16/09/2013

La route qui mène en montagne

 

Numériser0002.jpg

 

Inauguration route forestière.jpg

Inauguration route forestière

 

 

Source: ROGNAIX 1900-2000

 

 

Le Sonneur de cloche

 



Joseph GUMERY (1874-1958).jpg

 
 GUMERY Joseph (1874-1958)
 
 
Numériser0001.png
 
 
 
 
Source: ROGNAIX  1900-2000 et MICHEL Philippe pour précision du Nom et dates de Joseph GUMERY

ROGNAIX Date à préciser


Merci de m'aider à trouver l'année exacte.

 Anne SUCHET m'a donné le nom de l'instituteur; il s'agit de M. Gaston BLANC
Photo années 1970.jpg

15/09/2013

Photo Souvenir an 2000

Les habitants an 2000.jpg

La mairie, le bâtiment

1843/1845

Construction de la Mairie Ecole selon le plan du 28 mai 1843 de l'architecte MATTOLA. Les travaux sont adjugés à l'entrepreneur Antoine Marquetti. La maison commune comprend une salle consulaire, les archives et les écoles pour les deux sexes.

Août 1973

La mairie s'installe dans l'ancienne fruitière

Mairie 2009 Martial BLANC.jpg Photo: Martial BLANC - 2009


INCENDIES

-  imprime.pdf   

Document d'origine écrit par l'abbé Bompard sur registre état civil

Transcription:

En 1860, le 19 août à 10h du matin, à l'issue de la grand messe, incendie au village des tèpes: 10 maisons dont les toits ont été consumés. ont été préservées......celles de Vincent colliard, henry Morardet, j.p Morardet, jh martin guillot, martin Ruffier, louis collombier et les frères Michel. le feu à commencé vers l'écurie de julien colliard. l'on ne sait rien de plus et il n'y a eu que 2 à 3 maisons ou le feu ait pénétré dans l'inerieur

A.O Bompard

 

-  13 janvier 1885; Incendie chez Henri MORARDET et Séraphin GUILLOT

 

-  1891. La foudre incendie 3 granges à Varambon

 

-  6 juillet 1912; Suite  un orage, incendie à la Rochette faisant 4 sinistrés

 

- 17 décembre 1921; A la Ville, vers 18h, un incendie se déclare chez Joseph POINTET et détruit en 2h cinq maisons: celles de Joseph POINTET, Antoine POUX, Ferdinand BOZON, Jean Marie SAPIN et Jules CRETET. 14 granges-écuries sont également détruites

 

-  18 janvier 1930; Vers 13h incendie à Plan Bois: 5 chalets et 20 tonnes de foin détruits

 

-  29 juin 1932; Incendie à Pravis

 

-  19 mai 2004; Incendie aux teppes. La maison de Madame BONVIN est la proie des flammes

 

-  27 août 2012: Incendie  la ferme CHENAL

 

22/08/2013

Liens utiles

L'école de Rognaix fait partie du Regroupement Pédagogique Intercommunal  (RPI) des communes de Rognaix, Esserts-Blay et Saint Paul sur Isère.

Site internet ; http://www.ac-grenoble.fr/ecole/rpi.rognaix-esserts-st-paul

 

Site association des parents d"élèves ;  http://ape-eb-spi-r.over-blog.fr

 


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20/05/2013

Eboulements sur la commune

 

EBOULEMENTS

 

 

 

Chutes de pierres aux Teppes

 

 

 

Le hameau des Teppes est surmonté d’un éperon granitique assez fracturé, le « Rocher de la

 

Dent », et situé sous les replats où sont implantés les pylônes EDF. Des chutes de blocs à priori ponctuelles sont possibles. Cependant, un éboulement important, résultant du décollement d’une écaille rocheuse surplombante et fissurée de 15m3, s’est produit le 24 mars 1998. Afin d’assurer la sécurité du village, un merlon a été construit au pied du versant en 1998-99, puis une digue pare-blocs, en février-mai 2000.

 

 

 

Chutes de pierres aux Isles et au Rotaret

 

 

 

La falaise située en amont du secteur des Isles et du Rotaret est particulièrement déstabilisée. Des éboulements se sont déjà produits à plusieurs reprises :

 

- Aux Isles, dans les années 1920, 1950 et 1960.

 

- Aux Isles, le 22 février 1988 où des lames se sont écroulées (~50 000 m3) avec des blocs

 

de un à plusieurs dizaines de m3 dont un de 4 000 m3 environ (10 000 tonnes) menaçant la route départementale.

 

- Au niveau du lotissement le Rotaret où un éboulement de 12 m3 (30 tonnes) a eu lieu le

 

6 juillet 1990 à 20 mètres d’une habitation, à partir des falaises situées au sommet du versant vers 750 m.

 

De ce fait, un merlon a été construit en 1989-90 au-dessus des habitations. Le site a été étudié à plusieurs reprises par le Bureau de Recherches Géologiques et Minières (notamment en

 

1988 et en février 1993). Par prévention, un bloc instable a été miné le 28 mars 1993.

 

Même si de nombreux blocs imposants reposent à coté des maisons, le risque semble faible aujourd’hui mais plusieurs secteurs sont décomprimés et peuvent devenir menaçants. La

 

vigilance et la surveillance demeurent indispensables.

 

 

 

Chutes de pierres à la Rochette et aux Gadagnes

 

 

 

Plusieurs habitations du hameau de la Rochette et du secteur des Gadagnes sont exposées à des chutes de pierres et de blocs ponctuelles issues de la paroi qui surplombe la route. Cette falaise de micro schistes, localement boisée et fracturée, peut présenter des écailles et des lames instables.

 

Des chutes et des éboulements se sont déjà produits sur la route départementale, en limite des habitations :

 

- les 23 et 24 janvier 1983 ;

 

- le 16 juin 1985 ;

 

- en mars puis en décembre 1986 ;

 

- en janvier 1987 puis en 1990.

 

Suite aux éboulements de 1985, des filets métalliques pare-pierres ont été installés sur une longueur de 130 mètres au-dessus du hameau, complétés en septembre 1986 au lieu dit le Fayet.

 

Les falaises sont également purgées régulièrement.

 

 

 

 

 

Source : COMMUNE DE ROGNAIX PLAND’INDEXATION EN Z

 

 

 


Evènements par date

 


1872. Octobre. : Un roc de 14 pieds de long, 4 pieds de large s’est détaché de la montagne, au dessus de la chapelle de la Rochette, brisant le toit et la voûte et projetant la cloche dans un champ voisin.

1841. Au moment du dégel, des blocs de rochers de plusieurs tonnes de détachent de la falaise au dessus du hameau des Isles et dévalent la pente en direction du groupe de granges de Rotaret, coupant le chemin ancien des Teppes à la maison blanche.

1950. Un nouvel éboulement moins important se produit.

1985. Juin. Eboulement à la Rochette, des filets de protection sont mis en place au dessus du hameau.

1988. 22 février. Aux Isles, 5000 tonnes de granit (2000m3) dévalent la montagne et s’arrêtent à quelques mètres de la maison de la famille REY. Un bloc de 30m de long et de 10m de haut, parallélépipède presque parfait, s’est détaché de la paroi à la grande frayeur des 4 habitants de la maison qui trouvèrent refuge pour 3 mois dans la maison d’une parente.

Des blocs plus petits se sont éparpillés autour de l’habitation sans la toucher. Des rochers étaient en équilibre et risquaient à tous moment de glisser ; il fut procédé à une purge de la paroi, renouvelée le lendemain, puis 5 ans plus tard.

Depuis ce temps, tout à été miné et évacué pour servir de remblais à la route nationale Moûtiers-Albertville qui devient une 2X2 voies.

Un merlon de protection a été édifié sur une longueur d’environ 250m au dessus des bâtiments.


Voir photos album

 

Sources : Evelyne et Martial BLANC : ROGNAIX 1000 ans d’histoire de la commune et Catastrophes, épidémies et autres calamités ; Les amis du patrimoine de Basse Tarentaise.

19/05/2013

Témoignages

Témoignage de Robert COLLIARD dans la revue CATASTROPHES, Epidémies et autres calamités par les amis du patrimoine de Basse Tarentaise MAI 2008

 En ce début janvier 1955, il pleut depuis de nombreux jours : une pluis drue et tenace qui tombe jusqu’à très haute altitude, sur une couche de neige de plus d’un mètre d’épaisseur à environ 1200m d’altitude.

Le sol est gelé et le terrain n’absorbe plus.

Le petit ruisseau des Grangets, dont le lit servait à faire glisser les bois d’affouage, a vu ses berges dégradées par ces bois. Dans son lit s’est déposée une grande quantité d’alluvions. Ce ruisseau traverse le village dans un canal en béton, sorte de tunnel, dont une sortie se situe au niveau des habitations, vers les étables de Gustave CRETET et de Joseph COLLOMBIER. Puis le ruisseau chemine à découvert jusqu’à l’Isère.

Les alluvions entrainées par la quantité d’eau se déversent à l’ouverture du canal et gagnent les étables en contrebas.

Depuis plusieurs jours des équipes d’une dizaine d’hommes se relaient pour évacuer les graviers à l’aide de pelles et ce, 24h sur 24, jour et nuit.

Les matériaux entreposés en bordure du CD66 sont repris par des tombereaux tirés par des mulets et transportés dans une décharge. Un mulet attelé à une charrue laboure le canal pour assouplir l’amas de gravier. Cela facilite le travail à la pelle et en même temps permet à l’eau de s’écouler par une rigole.

Mandaté par le Maire, un après-midi, je monte à environ 1250m d’altitude, au point où les eaux étaient censées partir, pour essayer de les détourner. La tentative s’avère vaine du fait de la présence de 1.20m de neige et d’un terrain, certes dégagé où l’eau peut s’écouler, mais entièrement gelé : la pioche ne pénètre pas dans le sol.

Il me faut renoncer et rejoindre la vallée car la nuit tombe. Je reprends avec les autres le curage du ruisseau. Le 12 au soir, vers 19h, un grand bruit de tonnerre se fait entendre du côté des bois de Neyron.

Nous comprenons tout de suite que c’est le Nant Clément.

Celui qui a donné ce nom de Clément à ce petit torrent souvent sans eau, mérite un gros châtiment….

Nous abandonnons notre travail et nous précipitons sur la route des Teppes. Le premier flot arrive déjà à 200m du chef-lieu. A l’aide de poteaux nous faisons un barrage sur la route et nous réussissons à détourner l’eau dans les jardins et les prés en contrebas. De nombreuses personnes de Cevins arrivent pour se rendre compte de ce qu’était ce bruit qu’ils avaient entendu.

La nuit est noire, il faut donc attendre le jour pour découvrir les dégâts et agir en conséquence.

Le lendemain matin nous ne pouvons que constater la catastrophe. Pendant 3 jours, les 12, 13 et 14 janvier, par vagues successives, de nouvelles crues descendent. Elles dévient de tous côtés occasionnant divers dégâts : de gros rochers sous la Flachère, 1m de déblais contre le mur de l’école, la conduite d’eau cassée…

Le village des Teppes est isolé, un seul accès reste possible, mais difficile, à parti des Isles par Rottaret. Aux Rubiers, avant le cimetière il y avait un talus de 3m : il a été complètement nivelé. Les arbres, les poteaux de ligne sont noyés dans 1m de vase ; il faut fermer l’école et la transférer au chef-lieu chez un particulier. Les élèves des Teppes, pour franchir le gouffre creusé par l’eau, traversent dans le godet de la pelle mécanique.

Des arbres entiers sont déposés de ci, de là, dans les champs et les prés.

Il faudra des mois pour que l’eau, dans les bas fonds, puissent s’évaporer ou s’imbiber.

On entreprendra les travaux de nettoyage en fonction des urgences : école, chemin.

Certaines propriétés seront remises en état, d’autres abandonnées, celles-ci sont actuellement couvertes d’arbres.

Un devis fut demandé au RTM (service spécialisé dans la restauration des terrains en montagne et dépendant de l’ONF) pour l’endiguement du cours d’eau. Les travaux furent entrepris fin 1955 mais s’avérèrent par la suite insuffisants.

Plusieurs crues de moindre importance ont eu lieu depuis.

La plage de dépôt, construite plus tard, est une bonne chose pour des crues moyennes mais cela ne suffira pas pour stopper un évènement tel que celui survenu en 1955.


Témoignage du 19 mai 2013 de MICHEL Guy à moi-même

 Pour la sépulture de Marie RAVIER, des Teppes, il a fallu remblayer le lit du ruisseau sur la route de l’école à l’église. Sur la demande du Maire René CRETET, ce sont les 5 frères MICHEL, Jean, Joseph, Hubert, Guy et André qui s’y sont employés, à la pelle et à la pioche, pendant 3 jours. Ainsi pu avoir lieu la sépulture.

 

18/05/2013

Les enseignants à l'école de Rognaix (liste non complète)

-  CHEDAL BORNU Jules Joseph  né en 1847 à LA PERRIERE

-       CHARPENTIER Joseph Marie     né en 1847 à  SAINTE FOY

-       DUBETTIER François  né en 1846 à VILLARD/DORON

-       CHEVALLIER Anne Véronique épouse PERONNIER née en 1877 à CHAUMONT (Haute-Savoie)

-       DELENGAIGNE Joséphine née en 1874 à CHAMOUX

-       LACHENAL Philomène épouse RICHON née en 1880 à PALLUD

-       SAGE Marie séraphine épouse JUGAND née en 1859 à NAVES

-       COLLOMBET Eugénie épouse BERTHET née en 1880 à BELLECOMBE EN BAUGE

-       Mme ROUX   1919

-       Mlle CHARDON Emma

-       RAMELLA Berthe 1936

-       PORTIER Arsène  (classe des grands 1938-1948)

-       PORTIER Augusta  (classe des petits 1938-1948)

-       LAMBERT Augusta (1939 en remplacement)

-       THOMAS Michel  jusqu’en 1953

-       Mme FLORET (1955-1959)

-       CARRIER 1960

-       COLLIARD Gilberte (1961-1968)

-       BADOUX (1966-1971)

-       COLLIARD Raymonde (1968-1974)

-       SERRANO Luc (1971-1974)

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-       BLANC Gaston (1974-1981)

-       BOTTINI Jacqueline (1974-1975)

-       Mlle MOLINARI

-       ROUGIER (1975-1976)

-       VERNAZ Nicole (1976-1977)

-       LAVY Andrée (1977-1978)

-       JOND-NECAND Yves (1981-2005)

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-       GUITTON Laure (2005-2006)

-       BLANC Coralie (2006-

 

      Sources : MICHEL philippe d'après Instituteurs et institutrices de Savoie et Evelyne et  Martial BLANC ROGNAIX 1000 ans d’histoire de la commune