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19/01/2014

PÉRONNIER Jean-Antoine

 â Rognaix, 7 juil. 1828; prêtre, 12 mars 1853; vicaire auxiliaire au 

Bois, mai-sept. 1853; vicaire régent à Saint-Bon 
[1er nov. 1853]. Révérend père  1er janv. 1854; vicaire à Conflans, 
Révérend père   2 fév. 1855; à Bourg-Saint-Maurice, 15 fév. 1856. 

missionnaire, diocèsien, 16 août 1858; curé de Villaroger, 9 août 1864 ;

de la Perrière, 12 fév. 1866; de Saint-Bon, 15 juin 1866; de Bourg-Saint-Maurice, 

25 mars 1872; professeur de morale au Grand Séminaire, 
1er oct. 1874; chanoine honoraire , 30 mai 1875; vicaire général, 
5 oct. 1875; vicaire official, 10 oct. 1875; official, 1er fév. 1879; 

vicaire général de Mgr Pagis, agréé le 
11 juil. 1882; vicaire général de Mgr Bouvier, 1888; 
vie capitulaire, 12 avr. 1900; vicaire général honoraire 
de Mgr Lacroix, 29 juin 1901; maintenu comme tel 
par Mgr Biolley en 1908; décédé à Moûtiers, le 
7 mai 1911. Membre de l'Académie de la Val-d’Isère. 

MICHEL Joseph-Emile

 à Rognaix le 3 juillet 1834; 

prêtre, 24 mars 1860; vicaire à Sainte-Foy, 1er mai 1860; à Mâcot, 15 nov. 1862 ; 

curé de Champagny le Haut, 20 juin 1866 ; de Montgirodl, 20 oct. 1869 ; 

des Allues, 20 fév. 1875; de Bourg Saint-Maurice, 25 août 1881 ; chanoine honoraire, 30 déc. 1901 ; 

admis à la retraite, le 29 juin 1902, et de résidence à Moûtiers ; y est décédé subitement,

le 18 octobre 1903. 

16/01/2014

MISSIONNAIRE

GUILLOT, Joseph-Emile, né le 18 avril 1861 à Rognaix (Savoie), élève du petit séminaire de Moutiers, 1873-1881, aspirant du Séminaire des M.-E. le 16 septembre 1881, prêtre le 27 septembre 1885, partit le 2 décembre suivant pour le Cambodge. Après quelques mois d'étude de la langue à Cu-lao Gieng, il fut chargé du poste de Xoai-doi en 1886, et de celui de Soc-trang en 1887.

Il administra Prek-treng, 1888-1890, y éleva une chapelle et une résidence, et non loin de là, fonda le poste de Binh-ghi. Des difficultés locales le firent retourner à Soc-trang ; il y baptisa quelques Chinois, et fonda en 1892 la station de Cai-con. Gravement malade, il partit pour Saïgon ; il mourut en route, à Mi-tho, le 27 juin 1894. Son corps fut transféré et inhumé à Cu-lao Gieng, derrière le chœur de la chapelle du séminaire.

 

Notes bio-bibliographiques. - C.-R., 1887, p. 156 ; 1889, p. 183. - A. M.-E., 1913, p. 258.
Les miss. de Tarentaise, p. 35.
Notice nécrologique. - C.-R., 1894, p. 368.

 

Source; Missions Etrangères de Paris   http://archives.mepasie.org/

 

Né à Rognaix, 18avr. 1861 : entré au Séminaire des Missions Etrangères 
de Paris, en sept. 1881 ; prêtre, 28 sept. 1885; 
embarqué pour la mission du Cambodge, 6 déc. 1885; missionnaire, à la  station de Chandoe, 1886; à Vinh-Loi, 15 nov. 1887; à Soc Trang, 1er fév. 1888.

 

24/09/2013

Les lavoirs

Ce lavoir a été construit en 1908 aves des pierres de granit. Sa longueur est de 5.5m et sa largeur de 2m. Il peut contenir 2000L d’eau. Le lavoir appartient à la commune. Il est alimenté par l’eau de la source des Iles qui sort directement du rocher.

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Autrefois, c’étaient les femmes qui utilisaient le lavoir pour laver le linge. On les appelait les lavandières.

Le lundi matin avait lieu la grosse lessive : une dizaine de femmes se regroupaient autour du lavoir. Chaque lavandière avait une planche en bois sur laquelle étaient marquées au fer rouge ses initiales. On enfilait le bas de la planche dans une barre métallique qui se trouvait au fond du lavoir pour la fixer.

 

 

Les femmes utilisaient un battoir (petite planche en bois) pour faire sortir la saleté du linge.

La lessive n’existait pas mais on lavait avec du savon de Marseille qui était livré en barres de 10X10X60 puis découpé en petits morceaux. Les lavandières récupéraient aussi les cendres de bois de leurs fourneaux et les versaient dans l’eau bouillante pour faire tremper les vêtements les plus sales. La partie droite du lavoir droite du lavoir servait à laver le linge, celle de gauche à le rincer.

Le lavoir était utilisé également par les hommes à la période des vendanges pour faire tremper les baquets en bois ou laver les tonneaux.

Les enfants faisaient de belles bêtises ; ils siphonnaient l’eau du lavoir en emboitant des tiges de pissenlits, faisaient nager certaines sauterelles, et parfois plongeaient la tête la première involontairement !

Les animaux (les vaches, les mulets et les chevaux) venaient s’y désaltérer.

 

A partir de 1955, la plupart des femmes n’ont plus lavé leur linge au lavoir car l’eau courante a été installée dans les maisons et les machines à laver sont apparues.

 

Source : Travail réalisé par les élèves de l’école de ROGNAIX en 2009/2010

 

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Lavoir - bassin sur la place des Teppes

Les bassins


Autrefois il y avait 12 bassins à ROGNAIX : 4 au chef-lieu, 2 aux Teppes, 1 à l’école, 1 à Varambon, 1 aux Iles, 1 à la Rochette, 1 à Rôtaret et 1 autre au Bayet.

Actuellement, tous les bassins du chef-lieu et l’un des Teppes ont été démolis.

Plus celui de l’école.

Il existait de nombreux bassins dans la commune car l’eau courant n’alimentait pas les maisons. Ils étaient situés à des endroits accessibles à tous les villageois. Les maçons les ont construits avec des pierres de granit taillées et assemblées par des tringles métalliques.

Les habitants de Rognaix utilisaient l’eau des bassins qui provenait de la source des Iles  pour remplir des seaux qui étaient ensuite transportés à domicile et également pour faire boire les animaux.

Actuellement, l’utilisation des bassins est plus réduite : les enfants du village s’amusent avec l’eau et les cyclistes remplissent leurs gourdes !

 

 

 

Source : Travail réalisé par les élèves de l’école de ROGNAIX en 2009/2010


Voir album photos LES BASSINS

23/09/2013

Chapelle de la Rochette

6 juin 1763 - Antoinette Genot, pour respecter le vœu de son premier mari Eusèbe Bernard, originaire du hameau de La Rochette, lègue par testament l'argent nécessaire à la fondation et à l'entretien de la chapelle de la Rochette. Celle-ci est dédiée à Notre-Dame des Ermites, à saint Antoine de Padoue et à saint Germain.


Source : Généawiki

 

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L'Oratoire de la Culaz

1975

Un oratoire est érigé au lieu dit La Culaz par André Ducroz pour y déposer une statue de la Vierge Marie, propriété de Joséphine GUILLOT, en religion Sœur Marie-Aimée de la communauté des sœurs de Saint Joseph (née à Rognaix le 7 décembre 1895 – décédée  le 24 mai 1989 à Albertville).

Sœur Marie-Aimée a enseigné trente années au Brésil puis, à partir de 1955, elle a tenu le bureau des entrées de l’hôpital d’Albertville avant de se retirer, quinze ans plus tard à la maison de retraite de Venthon.

Dans les années 1914, alors qu’elle était jeune novice au couvent de Moûtiers, elle devait à chaque passage devant cette même statue lui baiser les pieds. Plusieurs décennies plus tard, la statue étant remisée dans un grenier, Sœur Marie-Aimée demanda à ce qu’on la lui attribuât, ce qui fut fait.

L’érection de l’oratoire est un hommage à cette religieuse avant tout femme dévouée et appréciée de tous ceux qui la connurent.

La statue en plâtre étant bien abîmée, elle a été remplacée en 2000 par une autre statue datant des années 1850 et offerte par une famille Lyonnaise.

Source : Rognaix 1000 ans d’histoire

 

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Soeur Marie-Aimée au centre. Photo tirée du Bulletin Municipal de 1985




Un oratoire est un édifice qui appelle à la prière, pour invoquer la protection divine. Plus précisément, ce terme désigne un petit monument voué au culte d'un saint ou d'une sainte représenté par une statuette ou parfois tout simplement par une simple plaque à son image ou une croix.

Source : Wikipédia

 

 


19/09/2013

Livres, revues....

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La cascade

Le nant Bayer, qui fait limite avec Saint Paul, prend sa source au pied du Grand Arc (2484m), dévale la pente sur 7,5kms, parfois dans des gorges resserrées, et arrive dans la plaine par une cascade de 50m, la cascade de Bayet.

 

Source: L'eau - Amis du patrimoine de Basse Tarentaise - Mai 2007

 

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Canyoning sur la cascade du Bayet

 

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 Source: L'eau - Amis du patrimoine de Basse Tarentaise - Mai 2007

 

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Crédit Photos: www.descente-canyon.com

 

Lettres et pétitions pour une route au départ des Teppes

 

La route forestière au départ de Bayet ne fit pas l'unanimité. En témoignent les lettres suivantes.

 

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Source: Sentiers et chemins de notre montagne; Robert COLLIARD - 2008