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17/02/2013

Parler savoyard

Le francoprovençal (ou arpitan) est la principale source d'influence du parler savoyard moderne. En voie de disparition, l'arpitan est encore parlé dans trois pays.

Le parler savoyard est un ensemble de mots ou des expressions fréquemment employés par les Savoyards, encore appelés sabaudismes ou savoyardismes. Ces mots, expressions ou formes grammaticales proviennent soit de l'arpitan1 (ou francoprovençal), soit de vieilles formes du français et de ses formes patoisantes, soit d'argot local comme le mourmé. De nombreuses expressions appartiennent également au français de Suisse.

Quelques exemples

Abade (être à l') : être toujours au loin, hors de la maison

Aider (aller s') : donner un coup de main à un endroit précis (Vas t'aider à la remise, la mémé elle écllape du bois)

Arvi (ou Arvi pa) : au revoir

Bocon : morceau

Crouè,Croêju : petit (Nan crouè bocon = un petit morceau), désigne également une lampe-réchaud typique de petite taille

Dans le temps : par le passé (Dans le temps on avait beaucoup plus de neige l'hiver)

Dégourdi : malin, intelligent

Jus : café (Tu bois l'jus ?)

Juste : 7 heures justes = exactement à 7 heures

Meilleur temps (avoir) : il est préférable (on a meilleur temps de passer par là)

Rien (pas) : important ("Le mariage; c'est pas rien!")

Vieux (se faire) : durer longtemps, tenir le coup (Ce soir je vais pas me faire vieux, je vais aller me coucher tôt)

 

AUTRES EXPRESSIONS DIVERSES

ADIEU : Terme de salutation, bonjour. Se dit en rencontrant quelqu'un, et non pas, comme en français, au moment de prendre congé.
A'RVI, A'RVI PA : Au revoir. PA ou PÂ est une forme raccourcie de "n'est-ce pas" . 
ARSOUlLLER : Mal recevoir, ou reprendre durement quelqu'un; « Je ne vais pas chez elle, car c'est juste bon pour se faire arsouiller. » 
AU : Remplace souvent "chez" : « Il va au coiffeur, au docteur.
.. » 
BON ESTOMAC (avoir) : Se dit de quelqu'un qui chante fort. « Le Joseph, il a bon estomac. »
BOURRÉES (par) : Irrégulièrement; « Hier, on a eu du monde par bourrées. » 
ÇA S'EST EU VU - Ce passé surcomposé signifie: « On a vu/connu autrefois... » 
CE SOIR : Hier soir. 
ÇA M'A BlEN FAIT DU BlEN. « Cela m'a fait grand bien .» 
C'EST BIN TANT BON ! : « Cela est bien bon. » 
C'EST SÛR ÇA ! : « Certainement! » A l'interrogatif , signifie « C'est bien vrai? »
 
CUBELLER : tomber
DÉMONTAGNER : descendre les vaches de l'alpage en fin d'été
DE BIZINGUE : de travers
DÉCROÎT : Atrophie d'un membre; « Mon frère a le décroit au bras gauche.» 
DES FOIS : Employé improprement à la place de « parfois.» 
DONNE-M'LE : « Donne-le moi. » Le patois ne distingue pas « moi » de «me.»
DONNER UNE POIGNÉE D'ÉLAN : Donner un coup pour faire bouger
DRÉ : tout droit 
EMPRAILLER : Remettre en prairie. « J'ai empraillé mes champs d'en haut. »
ENCORE : Ce mot indique une certaine nuance, par exemple de regret; « Il parait que vous avez encore été malade? » , de joie: « Vous avez encore bonne mine! »
ÉPEUFER : Repousser violemment; « Je me suis fait épeufer. » 
ÉTRAMER : Retirer; « Tu n'as pas étramé la viande et le chien l'a emportée. » 
GÔGNES (faire des) : Faire des manières ridicules; « Arrête de faire des gôgnes, et sers-toi. » 
LE GROS DU JOUR : La plus grande partie de la journée
MERCI À VOUS : Au lieu de « Je vous remercie. » 
OCTANTE : Quatre-vingts; se disait dans le Genevois et les communes frontalières. On dit toujours huitante à Lausanne et en Valais.
OUISTER : Menacer avec une baguette.
PITALER : Marcher vite et beaucoup; « Qu'est-ce qu'il a à pitaler comme ça ce matin! » 
REVIENS-Y ! : expression ironique, « Ne recommence pas! » 
RIEN : Négation; «Oh, n'ayez pas peur du chien, il n'est rien méchant. » 
RIEN QU'EN Y VOYANT J'Y VOIS : C'est évident
SACOGNER : Secouer brutalement.
SEULEMENT : Donc; «Faites seulement!» ou «Reprenez seulement du jambon!» 
TANTÔT : Plus tard, cet après-midi, ce soir, demain; « J’te verrai c’tantôt. » 
TOUCHER LA MAIN : Serrer la main.
TOUTES (les avoir) : Série d'ennuis. « Je les ai bien toutes eues cette année. » 
UN : S’emploie couramment au lieu de « celui » ; « Un qui aurait su ça... » 
VOIR : Employé comme adverbe, il apporte une nuance au verbe principal; « Dis voir un peu ce que tu penses de ça. » « Regarde voir si l'facteur est passé. »
VOULOIR : Exprime la possibilité, l'éventualité; « Ça veut pleuvoir c'tantôt »
Y : S’emploie à la place du pronom d’objet « le », « la », ou « les » ; « Ça, j’aime pas y faire. »

 

 

SOURCES: Wikipédia et http://www.sav.org/


 

Le Francoprovençal ou Arpitan

 

L'Arpitanie désigne un ensemble de régions européennes (suisses, italiennes et françaises) géographiquement cohérent - hormis un petit isolat en Italie du sud - ayant la langue francoprovençale en commun. Chaque région possède ses propres dialectes francoprovençaux, ce qui n'exclut pas l'intercompréhension avec les autres régions. Quant aux termes «espace arpitan » et «aire arpitane», ils désignent l'espace où l'on parle francoprovençal.

Le terme arpitan qui signifie montagnard ou berger a été repris au début des années septante (1970) pour répondre au besoin de lever la confusion générée par le terme francoprovençal. La forme particulière arpitan a été choisie pour sa ressemblance avec le nom de la seconde grande langue gallo-romane, l’occitan. Arpitan est formé à partir de la racine pré-indo-européenne alp-, dans sa variante dialectale moderne arp- ; en langue arpitane, ce mot ne désigne non pas la «montagne», une «forme de relief élevé», comme on le croit communément, mais les «pâturages de montagne où les troupeaux sont conduits et passent l'été». Cette racine est présente dans de nombreux noms de lieux, tant en Haute-Provence (Arpasse, Arpette, Arpillon, ...), qu'en Dauphiné (Arp, Arpion, Arpisson, ...), qu'en Savoie (Arpettaz, Arpeyron, Arpiane, ...), qu'en Valais (Arpette, Arpache, Arpitetta, ...) et que sur le versant italien (Arpet, Arpetta, Arpettaz,...). On retrouve cette racine ou sa variante en Lombardie, en Suisse, en Allemagne et en Autriche.

 
Source: http://www.arpitania.eu/
Pour plus de renseignements je vous suggère le lien ci-dessus

 

 

12/02/2013

Courbe démographique de 1793 à 2010

Réalisé par FIFI sur les bases de l'Observatoire de Savoie, InseeEHESS et archives départementales de la Savoie.

 

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467 habitants en 2015

 

11/02/2013

Histogramme La VILLE, Les TEPPES et La ROCHETTE

Variation population entre 1881 et 1931 au chef-lieu et les 2 principaux hameaux

Réalisé par FIFI sur les bases de l'Observatoire de Savoie, InseeEHESS et archives départementales de la Savoie.

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10/02/2013

Définition

La démographie (en grec δημογραφία, de l'ancien grec δήμος = demos signifiant « peuple » et de γραφή = graphein « écrire ») est l'étude quantitative et qualitative de l'âge des populations et de leurs dynamiques, à partir de caractéristiques telles que la natalité, la fécondité, la mortalité, la nuptialité (ou conjugalité) et la migration.
Le démographe analyse les variations de ces phénomènes dans le temps et dans l'espace, en fonction des milieux socio-économiques et culturels.
Sur cette base la prospective démographique est en mesure d'établir différents scenarii d'évolution : de type tendanciels, alternatifs, de crise ou de ruptures, etc.


Source: Wikipédia

06/02/2013

Curés, Recteurs ou Administrateurs de la Paroisse

Révérend APPLAGNAT : de 1637 à 1667

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Révérend Jacques ANDRE : de janvier 1667  à  janvier 1678

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Révérend Messire Anthoine TRAVERSIER: De janvier 1678 à son décès le 8 mai 1686

Révérend Petrus Franciscus PIGNARD : vers 1686 à avril 1708 (décédé le 10 août 1708)

Révérend Andréas DUCREY : D’avril 1708 à son décès le 6 mai 1733

Révérend  Guillelmo CLAREY : de mai 1733 à son décès le 23 avril 1743 

Révérend Joannis Franciscus MICHEL : de avril 1743 à son décès le 14 février 1763 

 

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Révérend FAVRE Jean-Baptiste. de 1763 à janvier 1792 au moins

Frère de Jean ;   A Pralognan, 29 juin 1735; prêtre, 22 déc 1759; ancien curé de Celliers, 

curé de Rognaix, depuis 1763; émigré en 1793, il se réfugia dans un couvent du Tyrol,

 d'où il ne revint qu'en 1807 ; curé de Pralognan, 10 déc. 1807; y est décédé, le 3 juin 1810.

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Révérend FAVRE Jean. Du 30 août 1803 au 21 mai 1813

 à Pralognan, 2 mars 1740; prêtre, 22 févr. 1700; vicaire régent à Landry, depuis 1775;

 émigré en 1793; de retour en mars 1797 ; missionnaire résident à Rognaix, par lettre

du 7 av. 1797 curé de Rognaix, 30 août 1803; y est décédé, le 21 mai 1813. 

 

 BERGONZY Jean-Baptiste-Louis. Du 1 oct. 1813 à mai 1814

 à Moûtiers, 5 avril 1741; prêtre, 16juin 1764; curé de Tours, il prêta le premier

 serment, en 1793, et le serment d'apostasie, l'année suivante; nommé bibliothécaire

 national de l’arrondissement de Moûtiers, le Ier thermidor an II, il n'avait pas 

encore rétracté son serment au commencement de 1797 (Journ. man, de Mgr Martinet); 

 Professeur de grammaire au collège commununal de Moûtiers, 16 fév. 1801 ;

 curé de Sain-Paul, 7 fév. 1800; de Rognaix, 1 oct 1813; de Fontaine- le Puits, mai 1814; 

y est décédé, le 12 avril 1817. 

 

Révérend FAVRE Jean-louis. Du 10 juin 1814 au 19 juillet 1819

Frère de Jean et de Jean-Baptiste;  à Pralognan, 20 juil. 1749; prêtre en 1776;

 vicaire à Montgirod depuis 1780; émigré en 1793; nommé missionnaire résident à

 Saint-Marcel, en mai 1797 ; économe à la cure de Bourg-Saint-Maurice, 

sept 1804 mars 1805 ; curé de Pralognan, Révérend père 5 juin 1805;

de N-D du Pré, 1er nov. 1806; de Rognaix, 10 juin 1814; y est décédé le 19 juillet 1819.

 

 

Curé RACT : Recteur de Cevins desservant provisoire de la paroisse de Rognaix : du 18 février 1819 à fin 1819

 

Recteur JACQUEMOND Henri. Du 1er déc 1820 au 10 mars 1824

 au Bois, 17 fév. 1756 ; prêtre, 25 mars 1780 ; vicaire à Séez ; vicaire à la Côte d'Aime 

depuis 1788; élu curé constitutionnel de Villargerel par l'assemblée électorale du district

 de Moûtiers, le 13 mars 1793 ; émigré en 1793 ; rentré en I796; missionnaire résident 

au Bois, par ordonnance du 20 oct. 1796; envoyé à Séez, par lettre du 15 mai 1797, et,

peu après, à Naves-Fontaine ; curé de Naves, 10 août 1803 ; de Rognaix, 1er déc. 1820;

 y est décédé, le 10 mars 1824. 

 

 Révérend BASTARD Charles.  Du 10 août 1824 au 4 janv. 1828

 à Conflans, 30 nov.1763; prêtre, 22 déc. 1787 ; vicaire à Hautecour, émigré

 en 1793; au retour, il exerça les fondions de missionnaire à Sainte-Foy

 (avec la charge provisoire de desservant de Villaroger, 26 oct. 1796), à Màcot,

 en 1800; à Cevins et à Conflans, en 1801, et en dernier lieu à Verrens ; 

curé de Saint Thomas, 10 août 1803 ; de Tignes, 10 sept. 1S01 ; de Laval, 

22 août 1805 (Arch. de l'Archevêché de Chambéry) ; de Corbel, 4 sept. 1811 ;

 d'Aillon le-Vieux,20 mars 1814; d’Entremont-le-Vieux, 1er août 1816 ;

 de Saint-Jean-de- Couz, 1er mars 1820; de Tournon, 1er mars 1822; 

de Rognaix,10 août 1824; démissionnaire, 4 janv. 1828; décédé à l'Hôpital (Albertville), 

le 19 fév 1829.

 

 

Révérend Recteur REVET Pierre. Du 4 janv. 1828 à oct 1838

Neveu de François;  à Chevron, 11 mai 1793; prof, de 5e au collège de Conflans,

 nov. 1814; prêtre, 30 mars 1816; prof de 3e au même collège, 1816; curé de Peisey, 

15 août 1818; de Saint-Paul. 1er  août 1820; archiprêtre de l’archiprêtré, nouvellement érigé,

 de Saint-Paul, 8 juil. 1826; curé de Saint-Sigismond, 1er juil. 1827; curé de Rognaix,

 4 janv. 1828; archiprêtre, 7 oct. 1828; préfet du collège de Moûtiers et supérieur du 

Petit Séminaire. 15 sept. 1838-1844; chanoine titulaire, 10 fev. 1840; décédé à Moûtiers, 

le 18 août 1866. 

 

 

 

Archiprêtre-Curé  BOMPARD ALEXIS-OLYMPE. Du 7 nov. 1838 à juin-juillet 1869

 à Conflans, 1er oct. 1800 ; prêtre, 20 déc. 1823; vicaire à Conflans, 

Révérend père 29 déc. 1823; à Séez, Révérend père 26 août 1825 ;

curé de Doucy, ler juil. 1826 ; de Villargerel. 7 déc. 1829; des Chapelles, 

22 mars 1832 ; de Rognaix, ; archiprêtre de l'archiprêtré de Saint Paul, 

de 1838 au 8 sept. 1850, et de nouveau à partir du 8 nov. 1855; 

décédé à Rognaix, le I3 juil. 1869. Mr Bompard est l'auteur de plusieurs brochures anonymes. Mém.de l'Acad. de la Val-d'Isère, VIII, p. 458-461.

 

 

REVET pierre-joseph. Du 21 juil. 1869 au 20 nov. 1882

Neveu de Pierre;  à Chevron, 1er  janv. 1830; prêtre, 10 juin 1854; vicaire régent à Arêches,

 4 août 1854; vicaire aux Allues, 20 mars 1856; à Bozel, 2 nov. 1859 ; 

curé de Naves, 2 déc. 1863; de Salins, 22 juil. 1867; démission, pour cause de maladie,

 14 oct. 1867; curé de Rognaix, 21 juil. 1869; démission, le 20 nov. 1882, et retiré à Chevron;

 y est décédé, le 12 août 1883. 

 

GAIDE-CHEVRONNAY Joseph-Delphin. Du 20 Nov. 1882 au 1er  nov. 1910 

 à Montvalezan, 29 déc. 1849; professeur de 8e au Petit Séminaire de Moûtiers. 

janvier-mai 1875; prêtre, 22 mai 1875; en disponibilité pour raison de santé, fin mai 1875:

 vicaire à Saint-Jean-de-Belleville, 20 oct. 1870; A Bourg-Saint-Maurice, 2 avr. 1881 ; 

curé de Rognaix, 20 nov. 1882; démission, le 1er  nov. 1910 : et retiré A Monlvalezan ;

 décédé le 5 juillet 1923. 

 

 

Révérend PAYOT Joseph-Jacques-Marie. Du 1er nov. 1910 à 1914

 à Bourg-Saint-Maurice, 20 nov. 1874; prof, à l'Externat Saint Joseph, à Lyon, oct 1897; 

prêtre à Lyon, 4 juin 1898; prof, de 7e et 8e auPetit Séminaire de Moûtiers, oct. 1901; 

prof de 5e; oct. 1902; vicaire à l'église du Sacré Cœur à Genève, oct. 1904; 

curé de Rognaix, 1er nov. 1910.

 

Révérend GUILLOT   guerre

Révérend PAYOT 1916-1929

Révérend CANOVA 1929-1935

Révérend PILLOUD 1936-1946

Révérend CHAFFERY 1946-1948

Révérend BERGER 1948-1950

Révérend TUPIN 1950-1954 

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Révérend Firmin PELISSIER 1954-1963

 

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Photos d'après originale prêtée par Madame Ginette DUCROZ de la Ville

 

Révérend Lucien PELISSIER 1963-1964

Paul LELEU

Laurent FRANCESCATO

Jean-pierre SANS  "ensemble des paroisses Notre Dame de basse-Tarentaise"

Bernard REYMOND   "Paroisse Notre Dame de basse-Tarentaise"

Bernard BADAUD

 

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Photo d'après journal conservé par Madame Ginette DUCROZ de la Ville

 

 

Sources: de 1637 à 1869  Archives de la Savoie et documentations diverses dont;

 Personnel ecclésiastique du diocèse de Tarentaise du Concordat à la Séparation (1802-1906) / par le chanoine Frédéric Richermoz et l'abbé Joseph Marie Emprin

Auteur : Richermoz, Frédéric (1854-1918)

Auteur : Emprin, Joseph-Marie (1865-1939)

Éditeur : Impr. de la Manufacture de la Charité (Pierre-Rouge) (Montpellier)

Date d'édition : 1924

Sujet : Eglise catholique

 

et pour 20ème siècle, informations gracieusement données par l'Abbé BADAUD prêtre officiant "Paroisse Notre Dame de basse-Tarentaise"  

 

 

 

 

 

01/02/2013

Maires successifs de la commune

Claude COLLOMBIER : Syndic en 1752. Joseph COLLIARD et Jean RUFFIER, conseillés.

François BOZON : maire en 1793

Martin COLLOMBIER : maire le 23 nivôse (12/01/1793) jusqu’à 1811 au moins

Antoine PERONNIER : Syndic en 1817. François DUCREY et Martin COLLOMBIER, conseillers.

 

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 François DUCREY : Syndic en 1820. Martin COLLOMBIER et Jean GUILLIOT, conseillers.

 

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 Martin COLLOMBIER : Syndic en 1830. Jean-Antoine PERONNIER, Pierre CRETET et Jean-Martin RAVIER, conseillers.

 Joseph-Martin GUILLOT. Nommé en 1849.

 

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Martin Marie Ferdinand BOZON : du 27 février 1861 jusqu’au 21 septembre 1870

 

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Joseph Daniel PERONNIER : du 12 décembre 1870 jusqu’au 18 octobre 1877

Martin Marie COLLIARD : du 23 janvier 1878 jusqu’au 21 février 1884

Joseph Daniel PERONNIER : du 28 juin 1884  jusqu’au 28 mars 1888

Martin Marie COLLIARD : du 25 mai 1888 jusqu’au 31 décembre 1889

Joseph Marie POUX : du 14 juin 1890 jusqu’au 3 mars 1891

Alexandre RAVIER : du 24 mars 1891 jusqu’au 14 mars 1892

Théophile POUX : du 31 mai 1892 jusqu’à avril 1900

 

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Photo prêtée par Madame Ginette DUCROZ née POUX

 

Emile GONNESSAT : de juin 1900 jusqu’à 1904

Alexandre RAVIER : Maire de 1904 à 1912

Antoine MERCIER : Maire de 1912 à 1917

Cyprien MORARDET : 1917

Charles GUILLOT : Maire de 1917 à 1925

Gustave CRETET : Maire de 1925 à 1941

 

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René CRETET : 1941-1943 (délégation)

Louis GUILLOT : 1943-1944 (délégation)

René GONTHIER : Maire de 1944 à 1953

 

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René CRETET : Maire de 1953 à 1965

 

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Henri COLLIARD : Maire de 1965 à 1969

Roger ROUVIERE : Octobre 1969 à mars 1971

Robert COLLIARD : Mars 1971 à 1973

Roger ROUVIERE : 1973 à mars 1977

André DUCROZ : 1977 à mars 1983

 

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André COLLIARD : mars 1983 à mars 1995

 

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Yoland PLOUVIEZ : Mars 1995 à mars 2008

Alvaro MARSON : Mars 2008 à Mars 2014

Patrice BURDET : Mars 2014 à juin 2020

 Joël GACHET: Juin 2020 à mars 2021

Marie-Françoise HEREDIA : Mars 2021 à octobre 2021

Patrice BURDET : Depuis le 10 décembre 2021

 

Sources :   MICHEL Philippe, Archives de la Savoie et Evelyne et Martial BLANC :ROGNAIX 1000 ans d’histoire de la commune

 

 

 

Le Maire

Dans les communes, l’État ne délègue pas de représentants dotés de compétences générales, comme les préfets dans les départements et les régions.

Le maire bénéficie d’une « double casquette » : il est à la fois agent de l’État et agent de la commune en tant que collectivité territoriale.

Le maire est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales.

– En tant qu’agent de l’État :

Sous l’autorité du préfet, le maire remplit des fonctions administratives dont notamment :

  • la publication des lois et règlements ;
  • l’organisation des élections ;
  • la légalisation des signatures.

Sous l’autorité du procureur de la République, il exerce des fonctions dans le domaine judiciaire : il est officier d’état civil et officier de police judiciaire.

– En tant qu’agent exécutif de la commune :

  • Le maire est chargé de l’exécution des décisions du conseil municipal et agit sous contrôle de ce dernier. Il représente la commune en justice, passe les marchés, signe des contrats, prépare le budget, gère le patrimoine communal.
  • Il exerce des compétences déléguées par le conseil municipal et doit alors lui rendre compte de ses actes. Les délégations portent sur des domaines très divers (affectation des propriétés communales, réalisation des emprunts, création de classes dans les écoles, action en justice...) et sont révocables à tout moment. La loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales autorise le maire à subdéléguer, à un adjoint ou un conseiller municipal, les attributions qui lui ont été confiées par délégation.
  • Le maire est titulaire de pouvoirs propres. En matière de police administrative, il est chargé de maintenir l’ordre public, défini dans le Code général des collectivités territoriales comme le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques. Il s’agit également de polices spéciales (baignade, circulation…).

Le maire est aussi le chef de l’administration communale. Il est le supérieur hiérarchique des agents de la commune et dispose d’un pouvoir d’organisation des services.

 

Source:http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/institutions/collectivites-territoriales/democratie-locale/quelles-sont-fonctions-maire.html