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18/09/2013

Fruitière: Définition

 

Une fruitière est un lieu d’exploitation et de transformation du lait en fromage dans des régions comme le Jura, la Savoie, ou les Alpes suisses. Ces fromageries, souvent de type coopératif (partage de l’outil productif), et très actives encore aujourd’hui, trouvent leur destination dans la mise en valeur du lait des producteurs. Typiquement, en Franche-Comté, le lait arrive le matin, il provient des fermes avoisinantes, seules les vaches montbéliardes peuvent donner leur lait. La cuve est encuivre et contient 3 000 litres de lait, il faut environ 500 litres de lait pour faire une meule de 40 kg de comté. Le lait est chauffé à 54 °C pendant 30 minutes, le fromager ajoute de la présure afin que le lait se transforme en caillé. Le caillé est soutiré et déversé dans des moules; le pressage va être exercé avec une force de20 kg pendant 1 heures avant d'être démoulé. Le fromage sera gardé sur un rayonnage en planches d'épicea pendant 4 à 18 mois à une température de 10 °C.

On trouve à Déservillers en Franche-Comté, une fruitière fromagère qui date de 1273 et qui s'enorgueillit d'être la plus ancienne au monde.

Les fruitières peuvent également être des fruitières vinicoles, comme c'est le cas à ArboisPupillin et Voiteur. C'est l'appellation jurassienne de la cave coopérative.

 

Étymologie

L'origine du mot est sujet à controverse : pour les uns, fruitière vient de « fruit » : il est le lieu où les paysans mettent le « fruit de leur travail » en commun, ou alors font « fructifier » leur bien ; pour d'autres, il serait dérivé du médiéval ou du fribourgeois fretière, de la même famille que « fromage ».

Source: Wikipédia

 

 

Ruisseau de Bayet et moulins

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Source: Collectif ROGNAIX 1900-2000

Les Moulins

 

Les Moulins

Il y avait 3 moulins à ROGNAIX : un moulin à pommes, un à huile et un autre à farine.

Ils ont été construits vers 1800. Depuis il n’existe plus que deux meules (en granit). Celle qui se trouve devant la mairie correspond au moulin à huile

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2 Photos: élèves de l’école de ROGNAIX en 2009/2010

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photo: MICHEL Philippe

 

et celle qui est au Bayet Numériser0003.jpgprovient du moulin à pommes.

Pour fonctionner, ces moulins utilisaient l’eau déviée de la cascade du Bayet. Chaque moulin renvoyait l’eau à un autre. Le moulin à pommes était plus efficace que la broyeuse car il écrasait même les pépins. Le moulin à huile écrasait les noix ramassées dans le village.

 

 

Source : Texte et crédit photos réalisés par les élèves de l’école de ROGNAIX en 2009/2010

 

17/09/2013

Historique


Un monument aux morts est un monument érigé pour commémorer et honorer les soldats, et plus généralement les personnes, tuées ou disparues par faits deguerre.

Il en existe de plusieurs types :

·         les cénotaphes (monuments mortuaires n’abritant aucun corps), généralement dans le centre d'une ville ou d'un village, mais qui ont aussi été, après la Première Guerre mondiale, élevé dans les entreprises, les écoles, les foyers fréquentés par les disparus de leur vivant ;

·         les mémoriaux, monuments nationaux élevés sur les champs de bataille (par exemple, à Douaumont) où les cimetières militaires abritent les tombes de soldats, parfois de centaines de milliers d'entre eux, dont une proportion de soldats inconnus.

 

Après la Première Guerre mondiale

La Première Guerre mondiale qui se déroula de 1914 à 1918 est la principale guerre commémorée par les monuments aux morts. Cette guerre a mis en jeu plus de soldats, provoqué plus de décès et causé plus de destructions matérielles que toute guerre antérieure. Plus de 60 millions de soldats y ont pris part4,5. Pendant cette guerre, environ 9 millions de personnes sont décédées et environ 8 millions sont devenues invalides6,7.

 

En France

 

Le deuil de la Grande Guerre a déterminé les communes à rendre hommage à leurs morts pour la Patrie. Dans les années 1920-1925, ce sont quelque 36 000 monuments aux morts qui furent érigés malgré les difficultés de la reconstruction. L'État est intervenu pour accorder des subventions et réglementer les édifications8,9, les souscriptions populaires couvrant parfois la totalité des dépenses10.

Les pertes massives (en France, il y eut 1,4 million de morts et 3 millions de blessés sur 8 millions de mobilisés, pour une population de 40 millions d'habitants) amènent, le plus souvent, non à glorifier la victoire, mais à honorer ceux qui ont perdu la vie. Cet aspect est important, car la très grande majorité des monuments élevés à cette occasion le sont à l’initiative, ou au moins avec la participation financière des anciens combattants, qui formaient 90 % des hommes de 20 à 50 ans en France11. Leur motivation à continuer de se battre était l’espérance que cette guerre serait la dernière (« la Der des Ders »), et que leur sacrifice ne serait pas vain ; les monuments sont aussi là, dans une certainemesure, pour rappeler ce sacrifice. Il n'est donc pas étonnant de trouver une forte concentration de ces lieux de mémoire dans les régions où se sont déroulés les combats, par exemple en Lorraine.

Leur construction commence dans l’immédiat après-guerre, mais se prolonge tout au long du xxe siècle (quelques petites communes se dotent d’un monument aux morts seulement dans les années 1990, comme Fontaine-le-Comte). Dans la plupart des pays, on ajoute à la liste des morts de la Grande Guerre ceux de la Seconde Guerre mondiale, puis des guerres suivantes (guerres de décolonisation (Indochine, Algérie en France) ou guerre du Viêt Nam aux États-Unis). En France, on y trouve parfois aussi une copie de l’Appel du 18 juin. Dans les autres pays, les monuments restent collectifs : les listes de noms sont très rares dans l’URSS, la Chine ou le Japon.

La période principale de construction est cependant les années 1920, dans les pays occidentaux : 30 000 de 1918 à 1925 en France, soit quinze inaugurations par jour les trois premières années d’après-guerre11. En 1924, par exemple, un double monument « Aux héros de l'Armée noire » est élevé à la mémoire des soldats africains tombés pendant la Grande guerre, l'un à Reims, l'autre à Bamako (Mali). Le premier fut détruit par les troupes d'occupation en 1940

 

 

Source : Wikipédia

A ROGNAIX

 

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Notes sur le monument aux Morts

Noms des villageois victimes de la guerre 1914/1918 et 1939/1945

La Grande Guerre fait 8 victimes, trois en 39-45.

Monument aux morts inauguré le 25 janvier 1923
Ce monument est réalisé par Michelon et Sestier dans un bloc de marbre de Villette pour 4 000 francs. (ADS 2 O 2242)

 

 

Morts de la guerre 1914-1918

Note : sans précision de lieu de naissance, naissance dans la commune.

Année 1914

Prénom(s) NOM

Naissance

Décès

Observations

Joseph Émile MASSON

21 septembre 1889

24 août 1914
Saulxures (Bas-Rhin)

Fiche - †Tué à l'ennemi - 140ème R.I  

Marie Élie MORARDET

4 juin 1887

27 août 1914
Saint-Dié-des-Vosges (Vosges)

Fiche - †Blessures de guerre - 62ème B.C.P  

Jean Alexandre CRETET

30 novembre 1889

1 novembre 1914 
Paris

Fiche - †Blessures de guerre - 30ème R.I  

-

   

-  


Année 1916

Prénom(s) NOM

Naissance

Décès

Observations

Auguste COLLIARD

4 décembre 1883

30 juin 1916
? (Meuse)

Fiche - †Thiaumont - Tué à l'ennemi - 261ème R.I  

Joseph Emile MICHEL

24 avril 1894

26 août 1916 
Cléry-sur-Somme (Somme)

Fiche - †Tué à l'ennemi - 5ème B.C.P - Gravé 1918 sur le M.M  

-

   

-  

Année 1917

Prénom(s) NOM

Naissance

Décès

Observations

Ernest Théophile MASSON

10 janvier 1892

27 octobre 1917
? (Belgique)

Fiche - †Aschoop - Tué à l'ennemi - 116ème B.C.P  

-

   

-  

Année 1918

Prénom(s) NOM

Naissance

Décès

Observations

Théophile CRETET

6 novembre 1897

23 juillet 1918
Marfaux (Marne)

Fiche - †Tué à l'ennemi - 502ème R.A.A  

Ernest PONT

 ?

1918

Pas de fiche  

Morts de la guerre 1939-1945

Prénom(s) NOM

Naissance

Décès

Observations

Claudius POUX

9 août 1920

7 juin 1944
Cevins (Savoie)

Fiche - †Fusillé par les Allemands - F.F.I  

Marius BONVIN

15 février 1908
La Bâthie (Savoie)

2 juillet 1944
Dachau (Allemagne)

Fiche - † Transfert du camp de Compiègne - F.F.I  

Marius COLLIARD

   

Pas de fiche  

-

   

-  


Sources Geneawiki  

http://fr.geneawiki.com/index.php/73216_-_Rognaix_-_Morts...

 

Je vous suggère de consulter les fiches des Soldats 


300px-73216_-_Rognaix-Monument_aux_morts.jpgphoto: Martial BLANC



 

Pompiers de ROGNAIX

 

 

 

 

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 Pompiers en 1940





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 La compagnie vers 1999-2000


 

Merci à celui qui pourra mettre des noms sur ces visages....Philippe




Historique

Historique des Sapeurs-Pompiers

 

Depuis la nuit des temps, l’homme a cherché à domestiquer son environnement. L’élément l’ayant certainement le plus fasciné est probablement le feu. Ce dernier lui a permis de changer son mode de  vie en le marginalisant définitivement du monde animal. Il lui a apporté le confort, a modifié ses habitudes alimentaires et lui a fait découvrir l’alchimie des matières naturelles qu’il allait alors pouvoir transformer.


 Ce miracle que la nature lui apportait pouvait aussi le déborder et lui causer de graves préjudices. L’homme préhistorique a dû apprendre à se protéger et à lutter rapidement contre feu.

 

Depuis L’Antiquité, la lutte contre les incendies s’organise. Déjà avec les Hébreux et les Grecs, des veilleurs de nuit, effectuent des rondes. À Rome, des édiles, à l’aide d’esclaves, sont chargées du service incendie. Peu avant notre ère, l’empereur Auguste forme une légion de deux mille vigiles commandée par un préfet et subdivisée en sept cohortes, autant que la capitale compte de quartiers. Par la suite cette organisation s’appliquera à la Gaule Romaine.


 Le plus ancien incendie connu dans notre pays remonte à 52 av. J.-C. à Lutèce.


D’autres incendies sont répertoriés dans cette ville en 585, 1037,1059 et 1132. La ville ne fut jamais détruite. Au contraire Rouen 1200, Toulouse 1463 et Bourges 1487 seront totalement détruites.


 Face à ce fléau, très rapidement les souverains vont prendre des dispositions pour éradiquer ces catastrophes.

 

803 - Le roi Charlemagne instaure dans les villes un service de veilleurs de nuit qui donne l’alerte en sonnant une cloche. Des baquets remplis d’eau sont placés devant chaque maison et le couvre feu est imposé pour limiter les risques.

 

1254 - Louis IX crée à Paris le ”Guet des Métiers”, les ouvriers du bâtiment et les bateliers doivent se joindre au guet royal pour lutter contre les feux.

 

1524 - L’ordonnance de François 1 réglemente les devoirs des "quaterniers". Ces derniers sont responsables dans leur quartier respectif du service incendie. Ils doivent conserver à leur domicile les seaux, les cordes, les échelles et les outils nécessaires à l’extinction. Pour la ville de Paris, ils se trouvent placés sous l’autorité du lieutenant civil du prévôt.

 

1670 - Une ordonnance permet au lieutenant de police de requérir les ouvriers du bâtiment. Les filles publiques, dès que retentit l’appel du tocsin, doivent se rendre sur les lieux du sinistre pour participer à la chaîne sous la surveillance des archers de la prévôté. Les véritables pompiers de l’époque sont les moines, équipés de haches, d’échelles, de cordes et de seringues à eau.

 

23 février 1716 - Le premier corps de lutte contre l’incendie est constitué. Ce corps compte trente-deux ”Gardes pompes”. Ils sont chargés d’assurer la manœuvre de seize engins, appelés “Pompes du Roy”. Pour les diriger, le sieur Dunouriez du Périer est nommé directeur général par ordonnance du régent, Philippe d’Orléans. C’est sur ce modèle organisationnel que l’ancêtre du bataillon de Marseille sera créé en 1719.

 

10 mars 1722 - Le nombre des pompes est porté à trente et les gardes sont rassemblés en une compagnie permanente qui regroupe soixante hommes. Les gardes reçoivent un uniforme bleu et un chapeau de feutre qui sera remplacé par un casque en cuivre durant l’année 1765.


 24 août 1790 (loi) - La révolution a éclaté. Sur la base des paroisses, les communes deviennent l’unité territoriale. La convention fait voter une loi faisant obligation aux municipalités de s’équiper en matériels nécessaires pour éteindre les incendies.


21 mars 1831 (loi) - Les corps de sapeurs-pompiers sont organisés en deux catégories :

- Les pompiers municipaux, sous la responsabilité des communes.

- Les volontaires de la Garde Nationale, sous la responsabilité de l’autorité militaires.

 

11 janvier 1852 (décret) - Les corps de sapeurs-pompiers sont maintenus alors que la Garde Nationale est supprimée.


5 avril 1884 (loi) - Les municipalités deviennent responsables financièrement des gardes-pompes.


13 août 1925 (décret) - L’association de plusieurs communes pour entretenir un corps de sapeurs-pompiers est autorisée. Les bases de l’intercommunalité sont jetées.

 

20 mai 1955 (décret) - L’organisation des sapeurs-pompiers dans le cadre départemental qui était un état de fait est enfin officialisée : les Services Départementaux d’Incendie et de Secours

 

4 août 1982 (décret) - Les responsabilités d’action des Services Départementaux d’Incendie et de Secours sont définis dans le domaine de la formation, du financement du matériel et des interventions.


 6 mai 1988 (décret) - Les Services Départementaux d’Incendie et de Secours sont gérés par une commission administrative paritaire, composée d’une part des élus du département, maires et conseillers généraux et d’autre part des sapeurs-pompiers, le Directeur Départemental, des officiers et sous-officiers professionnels et volontaires. Le préfet est membre de droit de cette commission.

 

3 mai 1996 (loi) - C’est la loi dite de départementalisation. Chaque département est doté d’un établissement public dénommé “Service Départemental d’Incendie et de Secours” composé d’un corps départemental organisé en centre d’incendie et de secours et d’un service de santé et de secours médical. Ont également la qualité de Service d’Incendie et de Secours les centres qui relèvent des communes ou des établissements de coopération intercommunale disposant d’un corps de sapeurs-pompiers. Les missions des sapeurs-pompiers sont définies officiellement. Cette loi prévoit la réalisation d’un schéma départemental d’analyse et de couverture des risques appelé (SDACR). La commission administrative est transformée en Conseil d’Administration ne réunissant que des élus. Une Commission Administrative et Technique ne réunissant que des sapeurs-pompiers est crée pour donner son avis sur au Conseil d’Administration. Le président est élu au sein du Conseil d’Administration.

 

26 décembre 1997 (décret) - Ce décret fixe l’organisation des Services d’Incendie et de Secours. Il impose la création d’un recueil des actes administratifs spécifiques au Service d’Incendie et de Secours. Il fixe la composition de la Commission Administrative et Technique. Le Conseil d’Administration des sapeurs-pompiers volontaires est remplacé par un comité consultatif départemental pour le corps départemental et communal pour les corps communaux et les corps relevant d’un établissement public de coopération intercommunal, en deux mots un regroupement de communes.

 

10 décembre 1999 (décret) - À compter de cette date, les sapeurs-pompiers volontaires deviennent des agents contractuels de la fonction publique territoriale à temps partiel. Si le statut de fonctionnaire ne leur est pas reconnu, ils sont désormais rattachés à un statut.

 

6 mai 2000 (décret) - Décret d’application de la loi du 10 décembre 1999.

 

27 février 2002 (loi) - Loi dite de liberté de proximité. Cette loi change la constitution du Conseil d’Administration. C’est désormais le Conseil Général et les grandes agglomérations qui sont les plus représentés au sein de cette assemblée. Les Sapeurs-Pompiers Volontaires peuvent faire valoir leurs connaissances devant le Conseil Consultatif.

 

28 novembre 2003 (décret) - Décret portant modification du décret 99-1039 du 10 décembre 1999 relatif aux sapeurs pompiers volontaires

16/09/2013

La route qui mène en montagne

 

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Inauguration route forestière

 

 

Source: ROGNAIX 1900-2000

 

 

Le Sonneur de cloche

 



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 GUMERY Joseph (1874-1958)
 
 
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Source: ROGNAIX  1900-2000 et MICHEL Philippe pour précision du Nom et dates de Joseph GUMERY

ROGNAIX Date à préciser


Merci de m'aider à trouver l'année exacte.

 Anne SUCHET m'a donné le nom de l'instituteur; il s'agit de M. Gaston BLANC
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